Courrez sans cesse sur des scènes spectaculaires
Si vous aimez les jeux originaux, ce titre pour Android vous aigaiera assurément. Le problème est qu'il est très souvent confondu à un jeu de Parkour et c'est là l'erreur principale. Parkour est une activité urbaine, tandis que Sky Dancer: Parkour Freerunner a un aspect beaucoup plus spirituel, comme nous le verrons par la suite.
La révolution de parkour est ici.
Une aventure personnalisable
Le mécanisme de ce jeu consiste siimplement à sauter d'une plateforme à l'autre en amassant autant d'items que possible sans s'écraser. Pour cela, il faudra simplement effectuer des déplacements basiques vers la gauche ou vers la droite et un saut en longueur, tout en pressant continuellement sur l'écran. En plus de traverser diverses scènes avec votre personnage (votre danseur des airs), vous pourrez aussi changer son aspect au fur et à mesure que vous avancez et accumuez les points.
L'élément le plus innovateur de ce jeu c'est le point de vue, étant donné que la caméra est placé derrière le courreur et non sur son profil. Donc nous régardons l'action presque comme si nous même nous étions en train de courrir. Cela peut sembler bizarre au bédut, mais c'est un incitatif qui finit par éblouir plusieurs.
Sprintez et sautez sur les falaises dangereuses d'une île volante à l'autre en esquivant en même temps les grands rochers.
Le design de ce jeu est très soigné et nous offre une expérience visuelle simple, mais très beau. C'est pareil pour sa bande sonore. Tout cela rend ce jeu très relaxant et addictif... à condition que vous soyez capable de ne pas vous mettre en colère chaque fois que votre personage se heurte contre un rocher, bien-sûr.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 5.0.
- Achats in-app intégrés.
Je suis diplômée en droit et en journalisme, avec une spécialisation en criminologie et en journalisme culturel. Une de mes grandes passions ce sont les applications mobiles, en particulier les applications Android. Depuis plus de six ans, je...
Florent Lontsi